De très chers disparus s’invitent à notre table,
Nous tirent par la manche, de peur qu’on les oublie.
Leur ombre nous poursuit, ils sont insupportables,
Ils ne tolèrent pas que nous soyons en vie.
Or la vie continue dans de beaux lendemains,
Car le passé n’est plus que cendres et souvenirs.
Nous avons à remplir de si jolis matins,
Et ne pas être ingrats aux promesses d’avenir.
Ce qui était, n’est plus; hier est bien est fini.
Et c’est mourir un peu que vivre d’autrefois.
Dans un monde passé et des photos jaunis
Au risque que nous-mêmes, nous succombions de froid.
L’amour et le bonheur sont comme le bon pain
Ils se goûtent chaque jour, tout chauds, à peine cuits.
« Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain.
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie. »
La France comprenant la situation maritime exceptionnelle de ce site décidera de faire une cité portuaire en plein expansion grâce à ses atouts agricoles et miniers
Port Sahara construit de toutes mains par les Français, magnifiquement outillé, desservant tout le Maroc oriental, Nemours pris sa place dans l'économie Algérienne et marocaine.
Les Travaux de cette œuvre ont coûté plus de cinq milliards de l'époque à la Chambre de Commerce d'Oran, et ils furent entrepris pour aider aussi l'économie marocaine,
Construite au XIIe siècle au centre du village, la forteresse de Billy fut autrefois une des plus importantes du Bourbonnais. Elle entra dans le patrimoine des sires de Bourbon en 1232.
Janus
Il n'est de vérité que nos penchants du cœur,
Nos élans de folie sans reproche et sans peur,
Le vent qui nous conduit aux rivages inconnus
Des rêves d'infinis jusqu'aux jours sans vertu...
J'assume de Janus, le visage à deux faces;
L'homme qui se montre lorsque l'autre s'efface,
Le sage qui raisonne et le fou qui divague,
Le rocher impassible et la furieuse vague.
Par mes contradictions, je me sens bien un homme
Pétri d’humanité de tout ce qui se nomme
par des mots de la terre, superbe mais fragile,
Rocher indestructible ou éphémère argile.
Je suis feu, je suis eau, je suis ciel, je suis terre
Je change chaque jour mais chaque jour j’espère
Voler jusques aux cieux, être pareil aux anges
Car je suis fait de terre, de ce curieux mélange
De soleil et de nuit, dont je ne sais jamais
Duquel je suis fait, lequel je dois aimer…
Nous ne saurons jamais déguster de la nuit
L’envoutante clarté et la paix infinie
Sans adorer du jour toutes les fulgurances
Sans aimer du soleil l'insupportable outrance.
Fait d’ombre et de lumière, je suis homme imparfait
Et le sort qui est mien me convient tout à fait.
Roman historique et régional inspiré par les écrits de l'abbaye de Cluny et par 60 ans de vie parodienne de Louis Antoine l'auteur.
La vie de ce moine écrivain correspond à la naissance de la cité d'Orval que l'on connaît maintenant sous le nom de Paray-le-Monial en Sud-Bourgogne.
Les voies impénétrables du Seigneur, certains diront le hasard, a voulu que dans un laps de temps relativement court : un siècle, 3 jeunes personnes prénommées Marguerite soient appelées à une vocation religieuse et y répondent passionnément par amour du Christ, chacune à sa manière. La première en date (1620/1700) Marguerite Bourgeoys religieuse au Canada La deuxième (1647/1690) Marguerite-Marie, en France religieuse cloîtrée. La troisième (1701/1771) Marguerite d’Youville fondatrice des Sœurs Grises au Québec. Animées d’une même foi mais en suivant des chemins bien différents, ces trois religieuses ont laissé une trace indélébile dans la longue marche de la chrétienté et on rejoint la multitude de Saintes et Saints du Paradis.
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