au sommet de la montagne de Dun 71800.
.0
Les Images de Grand Père
au sommet de la montagne de Dun 71800.
du prieuré de Paray le Monial.
Christ roman 11-12ème siècle de l’église de Varenne l’Arconce
après restauration
Eglise Notre-Dame-de-l’Assomption,
Bien que de dimensions modestes, la priorale d’Anzy-le-Duc est parmi les plus merveilleuses églises romanes de la Bourgogne. L’édifice d’un calcaire qui semble doré, dont le haut clocher octogonal domine le petit village et le paysage paisible du Brionnais, est l’une des haltes majeures sur la route des églises romanes de cette région très intéressante.
Photo www.bourgogneromane.com
L’extérieur de l’église montre l'appareil en calcaire doré du Brionnais. Il est dominé par le magnifique clocher octogonal à trois étages de baies géminées sur un soubassement nu. Il date de l’achèvement de l’édifice au 12e siècle et présente une grâce extraordinaire, inégalée en Bourgogne.
L’église d’Anzy offre beaucoup de trésors romans à découvrir. Bien conservée dans son entier, elle offre un plan développé, avec une nef à cinq travées et bas-côtés, un transept profond et un chœur avec une abside centrale entourée de cinq absidioles orientées. Sous le chœur s’ouvre une crypte qui est la partie la plus ancienne de l’édifice, peut-être du début du 11e siècle.
L'église fut construite en calcaire jaune, avec deux étapes évidentes, marquées par les différences entre le petit appareil du chœur et du transept et les gros moellons de la nef moins ancienne. On a longtemps attribué la partie orientale à la première moitié du 11e siècle, d'après ses caractéristiques archaïques, et la nef à la fin du 11e siècle. Les recherches ont démontré que le chœur et le transept datent probablement de la fin du 11e siècle, commencés vers 1080, tandis que la nef fut évidemment érigée au début du 12e siècle, vers 1110
Le portail ouest est le premier des fameuses entrées sculptées du prieuré qui comptait deux autres portails historiés à l’origine. Son décor, mutilé à la Révolution, représente l’Ascension glorieuse du Christ. Il fut sculpté par des artistes de Cluny au début du 12e siècle, après l'achèvement de la nef, dans un style bien typique pour cette époque de l’art roman bourguignon. Il est à rapprocher avec le portail ouest de Charlieu ou celui de Montceaux-l’Etoile. Le tympan représente le Christ en Majesté assis dans sa mandorle, avec sa nimbe crucifère et son livre, entouré par deux anges adorateurs aux ailes déployées. Le linteau en faible relief est comblé par les douze apôtres, dont certains ont les doigts levés, et la Vierge Marie.
Le chapiteau des têtes humaines entre des masques d’animaux, qu'on rencontre dans plusieurs autres églises de la région. Daniel dans la fosse aux lions est représenté par deux hommes assis entre des lions, Samson combattant un lion, Saint-Michel terrassant le dragon, où l'archange avec épée et bouclier pointu attaque un diable avec trident.
Les bâtiments du prieuré se trouvent encore au flanc sud de l'église, autour d'une cour centrale à l'emplacement du cloître disparu. Le logis du prieur reconstruit et quelques bâtiments des 16e et 17e siècles sont aujourd’hui propriétés privées.
Source : http://www.bourgogneromane.com/accueil.htm
L'église de saint Laurent en Brionnais a été restaurée au XIXe siècle. Elle a conservé de l'époque romane (début XIIe siècle) le choeur , l'abside et le clocher.
La partie romane comporte un transept non saillant; l'abside principale en hémicycle, flanquée de deux absidioles en retrait, est précédée d'une travée de choeur. Dans cette partie romane, les arcades sont en plein cintre. Les chapiteaux et la base des colonnes sont abondamment sculptés de motifs végétaux, humains ou animaliers.
A l'extérieur, le clocher de plan carré, ressemble aux clochers voisins de Vareilles et de Varennes l'Arconce. Il comporte trois étages percés de doubles baies et sur chaque face, trois demi-colonnes engagées dans la maçonnerie.
A l'extrème sud de la Bourgogne, le Brionnais a été au Xie et XIIe siècles, un foyer exceptionnel d'épanouissement de l'art roman. Un trentaine d'église et chapelles, entièrement ou partiellement romanes témoignent de la science des bâtisseurs et du talent des sculpteurs, un savoir-faire maitrisé qui a trouvé sa plénitude sur le grand chantier de Cluny
(Source : Centre International d'études des Patrimoines Culturels en Charolais Brionnais.)
Le monastère de Charlieu présente un ensemble de bâtiments intéressants relevant des périodes romanes, gothiques et Renaissance. L’emplacement de l’église montre les fondations superposées des trois églises des 9e, 10e et 11e siècles, dont on peut reconnaître quelques murs et bases de piliers. De l’église priorale, Charlieu III, il ne reste que le narthex roman à deux étages du 12e siècle, dont les portails sculptés sont justement célèbres, et les vestiges de la première travée de la nef. Au sud de l’église se trouvent le cloître gothique et la cour du prieuré, entourés des salles de l’abbaye et de l’Hôtel du Prieur.
Source - http://www.bourgogneromane.com/edifices/charlieu.htm
Le tympan de l'église paroissiale de Charlieu reprend le thème de l'Ascension que l'on retrouve dans l'ancien narthex du monastère, sculpté vers 1090 . C’est l’un des plus anciens tympans de la région au thème de l’Ascension du Christ, représentant le retour glorieux du Christ à la fin des temps.
Dans ce village du Brionnais, une petite église romane du XIe - XIIe siècle
et des chapiteaux remarquables
Deux bourreaux, un diable et l'un de ses valets
qui saisit la langue de sa victime avec une paire de tenailles.
Le péché de langue regroupe : le mensonge, la tromperie, le parjure.
(selon Neil Stratford - cité par Mathias Hamman,)
Mais j'ajouterais la médisance et la calomnie
*******************************************************************
Deux lutteurs complètement nus se livrent à un corps à corps
Deux combattants, l'un a chuté et tombe sur la tête.
Son vainqueur l'assomme en lui brisant le crâne à coups de massue.
Le lutteurs symbolisent la violence qui régissait les rapports humains
au Moyen Age.
J'ajouterai que rien n'a changé, maintenant les violents décapitent.
****************************************************************************
NB : reproduction de cartes postales vendues par l'association de sauvegarde
de l'église de Bois Sainte Marie pour l'ntretien et la restauration de l'écifice.
Le seul bâtiment encore bien conservé de la grande époque de Cluny
est l’ancien hospitium ou les hôtelleries appelées les Ecuries de
Saint-Hugues. Remontant aux années 1080, le bâtiment fut construit
du côté ouest de l'abbaye par Hugues pour abriter les étables au
rez-de-chaussée et l’hôtellerie de l’abbaye à l’étage. Le pignon sud est
encore d’un bon style roman avec ses deux étages de baies et une
sculpture mutilée d'un lion. A l’intérieur, le rez-de-chaussée possède
des piliers ronds et un plafond en bois. A l’étage, la charpente remonte
à la fin du 11e siècle. Modifié au 19e siècle et restauré durant les
années 2010-2012, le bâtiment est actuellement occupé par un théâtre.
VALDORIX MOINE DE L'AN MIL
Roman historique et régional inspiré par les écrits de l'abbaye de Cluny et par 60 ans de vie parodienne de Louis Antoine l'auteur.
La vie de ce moine écrivain correspond à la naissance de la cité d'Orval que l'on connaît maintenant sous le nom de Paray-le-Monial en Sud-Bourgogne.
**********************************************************
LA SAGA DES THILLET
La Saga des Thillet -1-
La Saga des Thillet -2-
La Saga des Thillet -3-
*****************************************************************
PARAY LE MONIAL ;;;
Un bouquet de Marguerites ....
Que la montagne est belle
NOTRE DAME DE ROMAY et les souvenirs qui s'y rattachent
Le condensé du livre de Monsieur l'abbé Barnaud :
Les Marguerites du Seigneur (nouvelle version)
Reproduction et exploitation interdites des images,
sauf autorisation écrite.
Nous respectons le droit à l'image de chacun.
Si vous souhaitez qu'une photo ne soit pas publiée,
n'hésitez pas à nous contacter,
nous la retireront immédiatement.