Le village est situé dans un repli des Monts du Mâconnais,
au pied du Mt St Romain, au Nord-est du canton de Cluny.
L’église Saint Martin (monument classé) village 2 Elle fut édifiée au début du XIème siècle. Elle fait suite à la première église donnée par les Sires de Brancion en 927 à Cluny. En 1156, Blanot devenait une prévôté du domaine abbatial de Cluny. La nef mesurait 25,15 mètres de long, elle fut réduite de 6 mètres dans les années 1930. Elle a retrouvé sa charpente apparente depuis la restauration de 1981. Toutes les couvertures en laves ont été refaites à neuf entre 1999 et 2005.
En 927, Leotbald de Brancion fit don du village de Blanot à l’Abbaye de Cluny. Les bâtiments du “prieuré” datent du XIIe au XVIe siècle et furent le siège des gestionnaires laïques du domaine Clunisien (probablement “le Prévôt”)
Maisons en pierre, galeries mâconnaises, histoire, architecture, nature, artisans et nos célèbres grottes constituent notre richesse.
L’église de Donzy-le-Pertuis, dont le haut clocher domine le paysage vallonné de la campagne autour de Cluny, est un bon exemple d’une église rurale de la première moitié du 11e siècle. C’est une église paroissiale qui dépendait de celle du bourg voisin de Blanot. Son clocher particulièrement élevé et son abside sont les parties les plus remarquables. Leurs murs, construits en petit appareil de calcaire, sont décorés d’arcatures lombardes sur modillons. Le clocher possède trois étages avec arcatures aveugles, baies simples et bandeaux saillants aux angles. L’abside, peu profonde et couverte en laves, présente une baie refaite et une statue de Saint-Jean-Baptiste du 16e siècle.
Roman historique et régional inspiré par les écrits de l'abbaye de Cluny et par 60 ans de vie parodienne de Louis Antoine l'auteur.
La vie de ce moine écrivain correspond à la naissance de la cité d'Orval que l'on connaît maintenant sous le nom de Paray-le-Monial en Sud-Bourgogne.
Les voies impénétrables du Seigneur, certains diront le hasard, a voulu que dans un laps de temps relativement court : un siècle, 3 jeunes personnes prénommées Marguerite soient appelées à une vocation religieuse et y répondent passionnément par amour du Christ, chacune à sa manière. La première en date (1620/1700) Marguerite Bourgeoys religieuse au Canada La deuxième (1647/1690) Marguerite-Marie, en France religieuse cloîtrée. La troisième (1701/1771) Marguerite d’Youville fondatrice des Sœurs Grises au Québec. Animées d’une même foi mais en suivant des chemins bien différents, ces trois religieuses ont laissé une trace indélébile dans la longue marche de la chrétienté et on rejoint la multitude de Saintes et Saints du Paradis.
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