L' église de Charolles, de style néo-roman, construite en 1863/1868
avec les meilleurs matériaux et dans un souci évident de qualité, avait
bien bénéficié de l’ameublement d’une petite chapelle fermée consacrée
au Saint-Sacrement et des travaux d’entretien courants. Mais le temps
était effectivement venu pour une réhabilitation complète.
L’urgence devenait de plus en plus évidente. Les fuites d’eau devenaient
préoccupantes … impensable d’y installer un orgue !!
Un très important chantier permit tout d’abord de nettoyer l’extérieur et
surtout de rénover complètement le toit (2009 et 2010). La satisfaction
de l’ensemble de la population (toutes convictions religieuses confondues)
fut grande. L’attente recommençait …
Qui me dira quels personnages sont représentés par ces médaillons sculptés sur le haut du clocher.
Et voilà que – alors que des nuages de plus en plus menaçants s’amoncelaient
à l’horizon – la réhabilitation de l’église a pu démarrer fin 2012. Elle a entraîné
une fermeture de plus de douze mois – mais qui valait la peine !
Source "Les amis de l'orgue de Charolles"
Le chemin de Croix est l'oeuvre du statuaire local René Davoine (1933)
Statue de la Vierge Marie et Piéta
De beaux vitraux dont un moderne dans la chapelle du Saint Sacrement.
Statue de la Vierge à l'Enfant dans la chapelle du Saint Sacrement.
J'aurais aimé vous donner plus de détails sur cette église
mais je n'ai trouvé aucun texte la concernant.
Un grand tableau représentant un évêque n'a pas pu être identifié
Je ne cesse d'admirer cette église abbatiale du XIIe siècle
L'histoire de la Bénisson-Dieu prend source lors de la fondation
de l'Abbaye le 29 septembre 1138 par Albéric, disciple de Bernard
de Clairvaux. Le site présente alors les caractéristiques classiques
pour la fondation d'une abbaye cistercienne. Une abbaye est érigée
avec son église abbatiale.
L'église marque la transition entre les arts Roman et Gothique : Le portail et la rosace de la facade principale, les vitraux en grisaille ainsi que l'autel primitif, sont de plus pur style Roman. Les voûtes sur croisées d'ogives sont de style Gothique. (à suivre)
Dans la vallée de la Grosne orientale, reliant le Haut-Beaujolais au
Clunisois et au Mâconnais, l’église du petit prieuré de Saint-Mamert
a été édifiée entre 1095 et 1105, en intégrant la chapelle primitive.
Avant le 11 juillet 1105, Hugues, abbé de Cluny, vient au prieuré
et place l’église sous le vocable de Saint-Jean-Baptiste.
Roman historique et régional inspiré par les écrits de l'abbaye de Cluny et par 60 ans de vie parodienne de Louis Antoine l'auteur.
La vie de ce moine écrivain correspond à la naissance de la cité d'Orval que l'on connaît maintenant sous le nom de Paray-le-Monial en Sud-Bourgogne.
Les voies impénétrables du Seigneur, certains diront le hasard, a voulu que dans un laps de temps relativement court : un siècle, 3 jeunes personnes prénommées Marguerite soient appelées à une vocation religieuse et y répondent passionnément par amour du Christ, chacune à sa manière. La première en date (1620/1700) Marguerite Bourgeoys religieuse au Canada La deuxième (1647/1690) Marguerite-Marie, en France religieuse cloîtrée. La troisième (1701/1771) Marguerite d’Youville fondatrice des Sœurs Grises au Québec. Animées d’une même foi mais en suivant des chemins bien différents, ces trois religieuses ont laissé une trace indélébile dans la longue marche de la chrétienté et on rejoint la multitude de Saintes et Saints du Paradis.
Abonnez-vous pour être averti des nouveaux articles publiés.
Reproduction et exploitation interdites des images,
sauf autorisation écrite.
Nous respectons le droit à l'image de chacun.
Si vous souhaitez qu'une photo ne soit pas publiée,
n'hésitez pas à nous contacter,
nous la retireront immédiatement.