C'était un un jeune fantassin de la grande guerre.ce néologisme est dû à Antoine-François Varner dans une comédie publiée en 1838 et intitulée Le Pioupiou. Ce mot
a ensuite connu un grand succès dans le sillage de la chanson de Montéhus, Gloire au 17e, composée en souvenir de la mutinerie des soldats du 17e régiment d'infanterie de Narbonne qui avaient refusé de tirer sur les manifestants lors de la révolte des vignerons du Languedoc en 1907. Après 1914, le mot « pioupiou » a subi de nombreuses concurrences, notamment celles de « bidasse » et de « troufion » qui l'ont supplanté dans le langage courant.